Les djihadistes irakiens, à qui profitent tous ces crimes?

16 juin 2014

Les djihadistes irakiens, à qui profitent tous ces crimes?

Les djihadistes irakiens diffusent des images d’exécutions de masse

Je me demande si on est sur Terre ou Mars quand des actes vraiment horrible existent encore de nos jours.

Photo d’exécution diffusée sur Internet par l’EIIL après la prise de Tikrit, dans le nord de l’Irak via https://justpaste.it/fusgi
Photo d’exécution diffusée sur Internet par l’EIIL après la prise de Tikrit, dans le nord de l’Irak via https://justpaste.it/fusgi

Je ne sais pas, ni quand, ni comment, ni pourquoi cette guerre à commencer, mais je me demande à qui profitent tous ces crimes.

Des statistiques

En 2012, l’Iraq Body Count estime qu’entre 105 052 et 114 731 civils irakiens sont morts dans cette violence. En 2013, selon IBC, 9475 civils ont été tués.
Cette année, seulement pour le mois de janvier, selon Le figaro, plus de 900 Irakiens sont morts, en les rajoutant avec les  1 700 prisonniers, soldats de l’armée gouvernementale ou miliciens chiites qui sont tués, sans parler de ceux qui sont portés  disparu et qu’on ne le retrouve plus jamais.

Libertés

Dans ces pays où les libertés fondamentales qui sont la liberté d’opinion et d’expression n’existent pas. A entendre que c’est simplement pour réclamer  à

« rétablir la gloire du califat islamique » ou l’alcool et le tabac  sont désormais interdits et les femmes doivent porter des « tenues décentes « ,  des vêtements « amples »,

qu’ils font tous ces meurtres me font gratter la tête. Quand on parle de conventions internationales et des « règles de la guerre » alors que des milliers de civils et d’enfants sont tués.

Nasrin et ses belles-sœurs Jwan et Fatima
Nasrin et ses belles-sœurs Jwan et Fatima

Nasrin et ses belles-sœurs Jwan et Fatima ont fui les combats à Damas avec leurs sept enfants.  « Nous avons un très bel appartement dans la banlieue de Damas, et mon mari tenait un petit restaurant », explique-t-elle. Hélas, les affrontements sont devenus de plus en plus fréquents dans leur quartier.  Nasrin se souvient : « Beaucoup de bombes sont tombées près de chez nous et des balles ont ricoché sur les murs de l’appartement.
Nous nous voyions mourir à chaque instant. Les enfants étaient effrayés par les bombes et les explosions. Mon mari m’a dit que je devais quitter le pays pour les sauver »

Pour suivre cliquez ICI

 

Cette guère qui résulte beaucoup de choses si on ne parle que des pénuries d’eau, des nourritures et des médicaments pour toutes personnes. En tout cas, toute formes de libertés n’existent plus dans ce pays. Nous prions le bon Dieu et fait appel à tout gouvernement de trouver un solution pour un  cesser le feu dans ce pays.

Réflexion : à qui profitent tous ces crimes?

 

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